Dans un entretien accordé à la rédaction du nouveau bimensuel Society, le chef de l’Etat a confié la manière dont il avait vécu les attentats de Charlie Hebdo le 7 janvier dernier.
Il y évoque la “voix déchirée par les sanglots” de son ami l’urgentiste Patrick Pelloux, chroniqueur de l’hebdomadaire satirique lui disant : “Ils sont morts, ils sont tous morts, viens vite.”
Déplorant notamment ce qu’il voit comme une “radicalisation de la droite autour de l’identité nationale”, François Hollande estime que “La démocratie doit changer de rythme” sous peine de s’en trouver elle-même changée.