Première mise en application de la mesure administrative du 6 février interdisant l’apologie du terrorisme sur internet, cinq sites ont été bloqués depuis la semaine dernière, a annoncé le ministère de l’Intérieur lundi 16 mars.
L’ordre de blocage a été donné aux fournisseurs d’accès, qui ont ensuite 48 heures pour prendre “toute mesure utile destinée à faire cesser le référencement de ces adresses”, selon le texte du décret.
(Avec AFP)