La liberté de la presse a connu une “régression brutale” en 2014, conséquence notamment de l’action du groupe État islamique et des nigérians de Boko Haram, selon le classement annuel de Reporters sans frontières publié jeudi 12 février.
“Il y a eu une détérioration globale, liée à des facteurs très différents, avec l’existence de guerres de l’information, l’action de groupes non étatiques qui se comportent en despotes de l’information”, a déclaré à l’AFP Christophe Deloire, secrétaire général de RSF.