Près d’une semaine après l’attentat jihadiste de Bamako, un des auteurs présumés a été tué vendredi dans la capitale malienne et “beaucoup d’armes” saisies par les services du renseignement, lancés dans la traque d’une dizaine de suspects.
Au même moment, la rébellion à dominante touareg du nord du pays poursuivait ses discussions entamées mercredi à Kidal (nord-est) sur l’accord de paix d’Alger, sous intense pression internationale pour le signer afin d’isoler définitivement les jihadistes, tels ceux qui ont revendiqué l’attentat. Le gouvernement avait déjà paraphé le texte le 1er mars.